Influenceurs et publicités cachées
Les réseaux sociaux sont-ils addictifs ? Toujours est-il que selon le baromètre SMI 2022 (Social Media & Influencer), 83% des jeunes regardent Instagram quotidiennement, 70% se tournent vers YouTube, 66% vers Snapchat, 63% vers TikTok et 59% vers Facebook et que, toujours selon cette même étude, 87% des jeunes suivent les influenceurs sociaux dont Les Engagés aimeraient réguler l’activité.
Essentiellement par l’exigence de contrats écrits mentionnant notamment la rémunération ou l’avantage en nature perçu par l’influenceur ainsi que par une indication claire de l’intention commerciale. Quel que soit le type de promotion utilisé – parrainage, placement de produit, etc. – les images devront faire apparaître, durant toute leur durée, de manière claire, lisible et identifiable les mots Publicité ou Collaboration Commerciale.
Dans le même ordre d’idées, les contenus créés et diffusés par les influenceurs ayant fait l’objet de retouches devront être accompagnés de la mention Image Retouchée. Ceux contenant des images, issues de l’intelligence artificielle ou non, devront être accompagnés de la mention Image virtuelle.
En cas de dropshipping, c’est-à-dire lorsque le vendeur ne prend pas en charge lui-même le stockage des produits qu’il propose à la vente, l’influenceur devra informer l’acheteur potentiel de l’identité du fournisseur effectif du produit et cette information devra être communiquée pendant la publicité, de manière claire et explicite.
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